Choisir le meilleur tonic pour son gin
Dans un verre high ball, versez 60 ml de gin, allongez avec 120 ml de tonic, ajoutez quelques glaçons. Votre gin tonic, selon Melifera, est prêt à être dégusté. Cocktail mythique, le « ginto » s’exprime dans sa plus grande simplicité, sans artifices. Le secret de sa réussite : l’exigence. Dans le choix du gin, bien sûr, mais aussi du tonic qui l’accompagne. Face à la variété de l’offre, comment ne pas se tromper ? Comment choisir le meilleur tonic pour son gin ? Quelques conseils pour vous accompagner dans votre sélection.
Le tonic, à l’origine
Au départ, la star, c’est elle : l’eau tonique ! Initialement découverte au milieu du XVIIIe siècle, cette décoction est le résultat de la macération dans l’eau d’écorces de Quinquina, un petit arbuste originaire d’Amérique du Sud et d’Afrique. Une boisson qui séduit pour ses vertus médicinales, contre la malaria des régions tropicales principalement. Moins pour son goût ! Son amertume beaucoup plus affirmée qu’aujourd’hui pousse les consommateurs à trouver des alternatives. On y ajoute du sucre et de l’alcool. Et dans les colonies anglaises, il va de soi que c’est le gin national que l’on va associer allègrement au tonic. Il est vrai que les notes vertes du gin, issu du genévrier, se marient parfaitement avec l’amertume de l’eau tonique. Alors quand en plus on vous affirme que c’est une boisson médicament ! Pourquoi s’en priver ?
Tonic et gin, l’accord majeur
Choisir un tonic pour son gin peut se révéler particulièrement délicat. Mais avant d’aller plus loin, petit arrêt sur sa composition : un tonic, c’est quoi ? Une boisson gazeuse plus ou moins sucrée, à base d’eau et de quinine, ingrédient dominant qui lui donne son amertume, souvent additionnée de botaniques telles que les fleurs, les aromates et autres épices. Pour le gin, si le goût des baies de genévrier domine, les botaniques qui entrent dans sa composition, son processus de macération ou encore sa technique de distillation lui confèrent sa richesse et sa singularité. C’est dire toute la variété et la subtilité des saveurs qu’il va falloir prendre en compte. Un terrain de jeu infini qui a dopé l’imagination des grands formulateurs de tonics nouvelle génération, mais aussi un véritable challenge pour celui qui se lance dans l’élaboration du ginto parfait.
Mix and match
Quelques conseils simples. D’abord, pour le côté pétillant, préférez un tonic en bouteille de verre qui préserve mieux le gaz carbonique, jamais en bouteille en plastique. Misez ensuite sur la grande qualité des produits sélectionnés, le naturel et le bio, en ayant bien à l’esprit que même l’excellence ne permettra pas forcément d’atteindre la perfection ! Car c’est là que tout l’art de la mixologie entre en scène. Concentrez-vous sur les profils aromatiques, tant du gin que de l’eau tonique, afin de les accorder au mieux, et préférez un tonic qui se situe dans le même profil que votre gin. Floral, fruité, sucré, épicé, amer… les options sont multiples. Le tonic est là pour rehausser certaines notes du gin, le sublimer sans éteindre ses arômes. Pour laisser s’exprimer votre gin premium Melifera et son goût floral, le conseil est d’opter pour un tonic neutre, pas trop sucré ni trop parfumé. Pour explorer d’autres sensations, seule la fleur de sureau peut apporter une note subtile et intéressante sur ce gin à l’immortelle.
Mais n’oubliez pas, l’art de la mixologie ouvre un large champ des possibles. Appuyez-vous sur les conseils d’experts, bien sûr, mais n’hésitez pas à faire vos propres expériences afin de découvrir les sensations en adéquation parfaite avec votre nez et votre palais. Melifera vous accompagnera dans cette quête, en vous présentant prochainement ses coups de cœur, de la start-up Hysope, un de ses partenaires, qui crée des eaux toniques bios en collaboration avec les aromaticiens de Grasse, à la star Fever-Tree, couronnée pour la 7e année lors des Drinks International Awards. Six maisons qui fabriquent des tonics haut de gamme, avec chacune ses propres spécificités : ingrédients naturels, production locale et bio, aromatiques innovantes ou neutralité assumée. A découvrir en avril sur le blog de Melifera.